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Jusqu'en 2012, la carte
au 1:50000 orthographiait ce sommet "Mont Teilliers", pour
cette raison il n'est pas impossible que vous retrouviez ce nom sur le
net.
En 2019 nouveau changement de nom, maintenant ce sera Les Monts
Telliers.
Les Monts Telliers sont aux nombres de deux,
mais c'est le sommet est qui est accessible à ski, et cela tombe bien car c'est le plus haut et c'est celui que nous avons
visité. :-)
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Le
parking version google
2014
Coordonnées GPS du parking: 45.900005
, 7.195645
Difficile de faire plus moche,
mais au moins il y a de la place et vu la popularité du coin il en faut. |
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http://maps.google.ch |
Il est 8h20 néanmoins nous
ne
sommes de loin pas les premiers, il faut dire qu'avec l'hospice du
Grand-St-Bernard il y a de la concurrence. |
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Il fait plutôt
grisouille, mais par moments entre deux nappes des sommets pointent
leur nez comme ci-dessous la Pointe des Lacerandes |
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Nous allons suivre 500 mètres la route du col
du Grand St-Bernard, celle qui est qualifiée de non sécurisée et avec
danger d'avalanche. |
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Chacun place son
accélération, c'est un départ de rando que je qualifierais de normal.
:-) |
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Nous
contournons le bétonnage de l'entrée du tunnel. |
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Cette route
du col n'est pas très large en hiver. |
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En fait je
voulais dire vraiment moche cette entrée du tunnel. |
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Devant c'est quand même
plus beau, quoique avec ces fils électriques. |
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A gauche c'est pour le
col, à droite pour les Monts Telliers, dans les deux cas la
solitude n'existe pas. |
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Pour la recherche de
l'itinéraire nous avons connu plus difficile, il suffit de suivre les
"piquets" noirs. |
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Le petit air glacial a
décidé de suivre la route du col, nous pouvons tenter un changement de
tenue. Cela ne sera pas le dernier avec cette petite bise du jour. |
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En nous retournant nous
voyons que le ciel se dégage, mais aussi cette colonne de
poursuivants. |
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Malgré les apparences
personne ne boude. |
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Le jeu des nuages est
magnifique, mais nous espérons quand même qu'il va cesser avant notre
descente. |
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Qui a vu un chien?
Dans
une rando à skis vous y croyez? |
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La colonne ne s'améliore
pas. |
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Mont Vélan |
Nous entrons dans la
combe de Drône, le groupe qui nous précède en est à sont troisième
changement de tenue. |
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Ils
repartent juste devant nous, cela nous permet de nous appondre. |
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Pas mal la régularité des
espaces. |
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Jean a un rythme
d'entraînement à tenir, pour se faire il rajoute quelques distances et
de la vitesse. |
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Sur place cette Combe de
Drône paraissait interminable, mais finalement pas tant que ça et sa
montée régulière était très agréable. |
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Ce
grand couloir sur la gauche arrive au Pas des Chevaux,
c'est aussi un des passages pour la Pointe de Drône. |
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Notre équipe avance
bien, nous distançons plus que nous nous faisons rattraper. |
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Le soleil est à nouveau
proche, tant mieux pour nous car nous avons presque froid, et tant
mieux pour l'appareil photo il maîtrisera mieux les contrastes. |
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Petite pause hydratation. |
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Grand Combin |
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Trois photos
maintenant pour démontrer que nous étions un groupe uni dans
l'effort. |
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Nous arrivons sur le
Grand Lé et pour la première fois nous apercevons le sommet dud-est
des
Monts Telliers. |
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Au moment où je vais
faire ma photo de groupe ils se sentent obligé d'admirer le Combin et
le Vélan. Bon je les comprends. |
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C'est mieux comme ça
quand même, surtout que moi je vois encore les montagnes.
Euhhhh j'en vois un qui a soif. |
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On nous refait le coup
de la trace interminable, mais comme nous avons bien entraîné ce type
de difficulté dans la Combe de Drône, même pas mal. |
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Mais c'est qu'ils sont
galants mes camarades. |
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Pointe de Drône Pointe des trois lacs |
La suite du parcours
est dans cette combe invisible juste derrière cette bosse neigeuse. |
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Et voilà, bien raide, en
neige dure sur le haut, mais finalement pas trop longue. ( 250 m de
dénivellation ) |
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Au cas où vous ne le
saviez pas, avec la rando c'est comme avec la fondue, ça crée la bonne
humeur. |
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La trace est excellente mais parfois bien
gelée et finalement pas si facile à suivre vu la raideur. |
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Le final nous réserve
quelques petits passages un peu plus sport. |
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Les fixations Dynafit
c'est bien, c'est léger, mais quand ça se décroche dans une pente
raide et durcie, ça agace. J'en ai une, je sais de quoi je parle. |
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Les dimensions des
points noirs donnent l'échelle de cette dernière combe. |
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Le lieu de dépose des
skis est en vue. |
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Et c'est le sommet, trop
petit pour y faire la pause ce qui est parfait
pour la photo du sommet. |
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Mont Blanc Grandes Jorasses |
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Mont Telliers sommet West |
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Mais quelques mètres en
dessous sur le lieu de dépose des skis, nous ne sommes plus seul. |
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Grand Combin |
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Mont Vélan |
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Col du Bastillon |
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Nous entamons la
descente dans une neige pas rêvée, des traces dans tous les sens et en
plus gelées. |
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Presque sans
discontinuer d'autres randonneurs continuent de monter. |
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En cherchant dans les
zones les plus réchauffées, nous arrivons à enchaîner quelques virages
digne de ce nom. |
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Voici cette première
pente vue d'en bas, elle nous laissera quand même un bon souvenir. |
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Tomber
c'est pas de chance, mais tomber quand on est filmé
c'est la
poisse. :-) |
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La suite était un faux
plat descendant au bout duquel nous nous retournons pour visualiser
une dernière fois l'objectif du jour. |
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Cachés derrière des
bosses, nous trouvons des bouts de pentes à tendance poudreuse, mais
elles ne sont pas longues. |
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Les conditions
"avalanche" ne sont vraiment pas terribles ce mois de février.
Dans les pentes sud aie aie aie, la cassure ci-dessous
doit bien faire 200 mètres. |
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Dents du Gd
Lé |
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Notre
itinéraire pour le moment n'est qu'une succession de bosses et de
replats. |
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De petites nappes de
brouillard viennent nous taquiner un peu, comme nous ne sommes pas
montés par là nous devons attendre par moments pour choisir la suite. |
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Une des pentes choisie
était un peu trop raide pour la stabilité actuelle du manteau neigeux. |
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La différence de pente
entre celle qui est acceptable (à quelques mètres à gauche vu de face)
et celle qui ne l'est pas, ne saute pas aux yeux. |
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Nous continuons notre
descente en essayant de trouver de la neige encore skiable, mais c'est
peine perdue. |
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Au loin le parking fin
du supplice, car descendre dans ce mixe de neige gelée et cartonnée ce
n'est pas évident en tous cas pour moi. |
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Il ne
reste qu'un long schuss. |
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C'est la fin, c'est le
parking. |
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Mon point de vue:
Cette ascension du Mont Tellier
est une grande classique, de ce fait elle est hyper parcourue.
Néanmoins, comme la Combe de Drône est large de presque un kilomètre,
la surpopulation ne dérange pas.
Excepté les
derniers 100 mètres de dénivellation la montée n'est jamais
désagréable. Pour la fin cela dépend évidemment de l'état de la neige,
pour nous elle était gelée donc les couteaux aidaient bien.
De multiples
pentes sont à disposition pour la descente, à chacun le plaisir de la
sélection.
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